Gaël Faure a commencé sa carrière sous les projecteurs de La nouvelle Star, il a vite réalisé que le bon chemin à suivre pour atteindre son but n’était pas forcément celui des paillettes. Du travail, de belles rencontres et quelques temps plus tard, il sort son premier album, « De silences en bascules ». Retour sur le parcours d’un artiste authentique et passionné.

A 14 ans, Gaël assiste à son premier concert, Louise Attaque, il a le déclic. Il achète une guitare, pour le son mais aussi pour le plaisir tactile de l’instrument, le bois, les cordes. Autodidacte, il progresse lentement, apprend les accords, les harmonies et surtout, réalise qu’il n’y a pas de codes, pas de règles, les portes de la création s’ouvrent à lui, il compose alors ses premières mélodies.

5 ans plus tard, à 19 ans (en 2006), il participe à La Nouvelle Star, continue d’ apprendre, découvre l’univers des médias, mais n’est que de passage, le meilleur reste à venir. Alors il travaille, beaucoup : concerts, maturation artistique, il affine son répertoire, son style. Entre 2012 et 2013, il rencontre les paroliers qui habilleront les mélodies de son premier album. Fabien Boeuf , Tété, Chet, Barcella ou encore Ben Ricour, de belles rencontres qui participeront à son épanouissement artistique.

2014, c’est la sortie de son premier album De silences en bascules, 11 chansons pop-folk au croisement entre les tentations de la ville et la sérénité des montagnes. Des mélodies addictives, des paroles qui lui collent à la peau, et une voix. Gaël chante d’une voix grave et posée, un timbre particulier qui séduit par son côté brut et un peu sauvage, grrr.

Mon titre #enboucle : « On dirait l’Islande » une très belle ballade qui évoque sa région natale, l’Ardèche. Elle m’évoque un sentiment de soif de liberté et de grands espaces, le souffle du vent, l’altitude, la plénitude.

Des chansons à glisser dans sa playlist, elles y seront bien….et vous aussi.

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