»Les Coeurs Célestes » de Daisy Lambert, entre évasion spatio-temporelle et mots d’Amour.

Daisy_Lambert« La constellation de tes grains de beauté, dans la nuit de ta peau qu’il est bon d’exister », ces mots d’Amour marquent le début du nouveau titre de Daisy Lambert « Les Coeurs Célestes » , une chanson d’amour 2.0 qui vous séduira par sa singularité. Connectons-nous à l’univers très particulier d’un artiste qui nous élève vers de lointaines constellations. Cession d’observation télescopique d’un artiste talentueux  et non sans mystère…

C’est sur le thème de l’Amour et du désir que Dasisy Lambert a décidé de poser la première pierre de son prochain (et second) album.  Joli mélange de chanson française-électro-pop. Une voix sensuelle, quelques notes de piano et un fond sonore « synthéticonostalgique », il n’en faut pas moins pour nous hypnotiser délicieusement..

Les_coeurs_celestes

Daisy Lambert est un artiste ambivalent qui signe « une musique qui fusionne sans complexe avec le superficiel et le profond, la flamboyance et la pudeur, le perfectionnisme et la fraîcheur. » Un artiste inspiré par la musique de John Barry, Jean-Michel Jarre ou encore par le rock progressif des années 70.

« Les coeurs célestes » a été réalisé, enregistré et mixé en collaboration avec Benoit Bel. Une chanson pour les histoires avec lendemain, ou pas, pourvu qu’on ai l’ivresse d’un « son qui se fait miel, avec juste une goutte de LSD. » Hâte de découvrir la suite…en attendant, direction les étoiles…

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Sa bio officielle :

Mélomane insatiable, Daisy Lambert est bercé dès l’enfance par les refrains populaires des ondes FM. Les eighties sont délicieuses: sentimentales et insouciantes. Du rock acnéique à la chanson française «sous-pull beige/guitare en bois», en passant par les pionniers du Moog et autres héros transgenres: tout, ou presque, est bon à prendre pour le jeune Lambert, qui dans sa grisaille ardennaise, rêve de Wembley et de backstages sulfureux.

L’année 2011 marque le début de la création et l’abandon de son clavier-jouet, au bénéfice de synthétiseurs antiques et autres boîtes à rythmes analogiques chinés. Avec la ferveur du débutant, il aspire à composer la musique qu’il rêve d’écouter. En 2013, Daisy Lambert nous offre “Chic Type”, curriculum vitae d’un cinéphile, auteur d’une oeuvre hybride et sensuelle.

Si l’étrange pseudo illustre l’ambivalence de l’homme, car c’en est un, la musique fusionne sans complexe le superficiel et le profond, la flamboyance et la pudeur, le perfectionnisme et la fraîcheur. Les couleurs sonores lorgnent avec délectation dans le rétroviseur, et c’est ce crossover entre variété française classieuse et bande-son synthéticonostalgique qui crée la singularité de Daisy le jouisseur. Une collaboration avec Frédéric Lo, et un mix d’Alf Briat viennent peaufiner ce jeune et bel ouvrage.

Alors que le premier essai apprivoise les méandres de l’égo, « Les Coeurs Célestes », single à venir, met en scène un Daisy Lambert tourné vers l’autre : son âme soeur, cette danseuse étoile qui a besoin d’espace. La pudeur s’évapore dans un ciel Barbapapa, à deux pas du firmament. L’Amour devient un puissant psychotrope où se côtoient pluies d’étoiles, et souvenirs fantasmés. Sans nul doute, le chanteur est habité par les vibrations de John Barry, JM Jarre et du rock progressif des années 70. Le son se fait miel. Du miel, avec juste une goutte de LSD.

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