Quelques jours seulement après sa sortie (19 janvier), l’album de The Avener : « The Wanderings of the Avener » se classe NUMBER 1 sur Itune (single et album). Focus sur un artiste qui a trouvé son style, entre musique électro et acoustique…

« The Avener » s’appelle Tristan Casara, il a 28 ans, vit à Paris et est originaire de Nice. Il a étudié la musique classique au conservatoire dès son plus jeune âge et s’est redirigé vers le Djing à l’adolescence. Il enchaine alors les résidences sur la côte d’Azur et fait danser les accros du dance floor de Nice à Cannes, en passant par St Tropez et Monaco.

Il monte ensuite à Paris pour tenter sa chance mais réalise très vite qu’il n’est pas facile de faire son trou dans la capitale… A ce moment là, il a toutes les cartes en main pour réussir mais n’a pas encore défini son projet musical. Il écoute un peu de tout, aime autant l’électro que la musique acoustique. La bonne idée qui va l’aider à se trouver musicalement : raviver des morceaux (quasi) inconnus du grand public. Il commence par Fade out lines, qui deviendra un des tubes de 2014 un peu partout en Europe, un gros succès qui lui mettra le pied à l’étrier pour se lancer dans la course au succès.

C’est au soleil, dans son studio niçois qu’il va travailler sur son premier album : sélectionner les titres, récupérer les bandes originales et les retravailler en profondeur (« rework ») grâce à de savants mélanges d’émotion harmonique et de pulsion de danse.

La deep house donnera le tempo et prendra alors tout son sens dans ce projet « un style parfait pour mélanger mes différentes influences, la soul, le funk, le blues, la folk ».

Concernant les lives à venir, à la question « Comment envisages-tu tes lives pour 2015 ? (scénographies, featurings, etc), il nous répond « Nous sommes en train de mettre en place une scénographie pour les festivals printemps/été 2015 je ne peux encore rien dire 🙂 ».